Voyage « Sur les pas de Sissi » organisé par le Site « Sisi-Strasse »

Voyage SissiStrass

Le Site « Sisi-Strasse » organise un voyage « Sur les pas de Sissi » qui aura lieu du 27 Avril au 5 Mai 2013. Pour plus de renseignements voici leur Site :

Site « Sisi-Strasse » organizes a trip « In the footsteps of Sisi » which will take place from 27 April to 5 May 2013. For more information, here is their website:

http://www.sisi-strasse.info/

http://www.adac.de/_mmm/pdf/Broschuere_Sisi_Oldtimerreise_157545.pdf

Une Année à la Cour d’Autriche

Bal Franz

Pour la vieille aristocratie autrichienne, la Cour impériale était non seulement le centre de son existence, le rythme de leur vie a été déterminée par les règles strictes de la Cour des Habsbourg.

L’année a commencé avec la Neujahrscour (réception du Nouvel An) à la Cour. La noblesse de l’empire était à la Hofburg pour payer leurs respects à l’empereur et à transmettre leurs félicitations saisonniers à la famille impériale. Cela a eu lieu conformément à une procédure complexe qui révèle les nuances subtiles qui caractérisent la vie hiérarchiques à la Cour. Seul le corps diplomatique, les membres de familles régnantes et les membres de l’aristocratie qui a occupé les plus hauts postes honorifiques de la Cour ont été autorisés à féliciter l’Empereur en personne. Les autres membres de l’aristocratie qui ont été admis à la cour a dû se contenter de la Obersthofmeister (chef de ménage Cour de l’empereur) en tant que représentant du monarque, qui a ensuite relayé leurs félicitations à l’empereur.

Une procédure analogue a eu lieu avec les dames de la cour: les épouses des ambassadeurs et des hauts fonctionnaires de la Cour ont été reçus par l’impératrice en personne, tandis que les autres dames aristocratiques devaient se présenter au chef de ménage Cour de l’impératrice.

La réception a marqué l’ouverture de la saison sociale et le début d’un tourbillon de bals, de fêtes masquées et d’autres divertissements. Les points forts de la saison ont été les deux bals à la Cour. Le premier aura lieu à la Cour: cela équivaut à la Bal d’Etat de la monarchie, à laquelle 2.000 personnes de la haute société viennoise ont été invités. En plus de l’élite aristocratique des invités comprenait également des personnes de la vie politique et économique ainsi que des officiers supérieurs de l’armée. Deux semaines plus tard, le «premier pilier» de la société se sont réunis au «Bal à la cour», un événement plus exclusif qui a été réservé à l’aristocratie, qui ont été admis à la cour. Ce fut le point culminant absolu de la saison sociale et on ne pouvait qui assiter qu’ à l’invitation personnelle de l’empereur.

La saison des bals et les fêtes de carnaval bruyante a pris fin abruptement le mercredi des Cendres. Pendant le Carême, pas de danses , mais les concerts et les soirées étaient permises. Un tour des fêtes ecclésiastiques commencèrent même qui a constitué un élément important de la vie sociale de la Cour . La saison sociale à Vienne a pris fin avec la procession du Corpus Christi, ce qui était une manifestation visible du lien traditionnellement étroit entre le Trône et l’Autel, et à laquelle tous les membres de la  société de Cour se sont présentés en fonction de leur grade et leur nom.

En été, la plupart de la noblesse viennoise quitté la ville pour leurs propriétés de campagne. C’était le moment de la retraite d’été, de détente et de la poursuite des intérêts individuels, ponctuées par la succession des visites aux familles aristocratiques voisines.

L’ Automne a été dominée par la saison de chasse et de tir, toujours revendiqué par la noblesse comme un privilège féodal et considéré comme un sport digne de leur statut social. Les familles qui possédaient de vastes propriétés  invités les autre Membres de leur Classe à de grandes parties de chasse qui ont servi à renforcer le sentiment de solidarité aristocratique.

Peu de temps après Noël  la vie revint une fois de plus aux palais viennois de la noblesse et la ronde des événements sociaux recommença.(De Habsburger.net)

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For the old Austrian aristocracy the imperial Court was not only the centre of its existence; the rhythm of their lives was determined by the strict rules of the Habsburg Court.

The Court year began with the Neujahrscour (New Year’s reception) at Court. The nobility of the empire appeared at the Hofburg in order to pay their respects to the emperor and to convey their seasonal felicitations to the imperial family. This took place in accordance with an elaborate procedure that revealed the fine hierarchical nuances characterising life at Court. Only the diplomatic corps, members of ruling families and those members of the aristocracy who held the most senior honorary posts at Court were permitted to attend upon the emperor in person. The other members of the aristocracy who were admitted at Court had to make do with the Obersthofmeister (head of the emperor’s Court household) as the monarch’s representative, who then relayed their felicitations to the emperor.

An analogous procedure took place with the ladies at Court: the wives of the ambassadors and senior Court officials were received by the empress in person, while the other aristocratic ladies had to present themselves to the head of the empress’s Court household.

The reception marked the opening of the social season and the beginning of a whirl of balls, masked festivities and other entertainments. The highlights of the season were the two balls at Court. The first to take place was the Court Ball: this was equivalent to the state ball of the monarchy, to which 2,000 guests from Viennese high society were invited. Besides the aristocratic elite the guests also included individuals from political and economic life as well as high-ranking army officers. Two weeks later the ‘first tier’ of society met at the ‘Ball at Court’, a more exclusive event that was reserved for the aristocracy who were admitted at Court. This was the absolute climax of the social season and could only be attended on the personal invitation of the emperor.

The ball season and the boisterous carnival celebrations ended abruptly on Ash Wednesday. During Lent no dances were held, but concerts and soirees were permitted. A round of ecclesiastical feast days began which likewise constituted an important element of Court social life. The social season in Vienna ended with the Corpus Christi procession, which was a visible demonstration of the traditionally close link between throne and altar, and at which all members of Court society presented themselves in accordance with their rank and name.

In summer most of the Viennese nobility left the city for their country estates. It was the time of the summer retreat, of relaxation and the pursuit of individual interests, punctuated by visits to the estates of neighbouring aristocratic families.

Autumn was dominated by the hunting and shooting season, traditionally claimed by the nobility as a feudal privilege and regarded as a sport befitting their social status. Families who owned suitable tracts of forest invited others to large shooting parties which served to reinforce the feeling of aristocratic solidarity.

Soon after Christmas life returned once again to the Viennese palaces of the nobility and the round ofsocial events  began anew. (From Habsburger.net)

http://www.habsburger.net/node/6422

Les cheveux d’Elisabeth

Sissi

Dans les biographies sur Elisabeth, on parle souvent et pour ainsi dire toujours, de son abondante chevelure. Elle n’était pourtant pas la seule à avoir les cheveux aussi longs. C’était le mode de l’Epoque, en témoigne les quelques photos que j’ai pu trouver sur le net.

In the biographies of Elizabeth, we often speak and almost always, his abundant hair. It was however not the only one to have such long hair. It was the fashion of the Epoque, evidenced by the few pictures I could find on the net.

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Liens / Links :

http://www.rapunzelsdelight.com/

http://www.rapunzelsemporium.com/index.html

Un portrait d’Elisabeth toujours Propriété Privée de la Famille de Habsbourg

Gravure d'Epoque 01

Sur cette peinture représentant l’Empereur François-Joseph dans son Buraeu du Château de Schönbrunn, non voyons à droite un portrait d’Elisabeth encore jeune femme. Voici ce portrait :

In this painting of Emperor Franz Joseph in his Office of Schönbrunn we can see on the right a portrait of Elisabeth still young woman. Here this portrait :

 Ce Tableau n'est plus à Schönbrunn mais appartient à l'Archiduc Otto 01

Quand nous regardons des photos du Bureau de l’ Empereur prisent de nos jours, nous constatons que le portrait à été remplacé par un autre :

When we look at pictures of the Bureau of the Emperor at nowadays, we find that the portrait was replaced by another :

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Le premier portrait à été remplacé par le second, pour une simple et bonne raison : c’est qu’il appartient toujours à la Famille de Habsbourg, même si ce n’est pas aux descendants d’Elisabeth mais aux Héritiers actuels de la Maison d’Autriche.On peut voir sur les photos suivantes, l’Archiduc otto poser devant le portrait :

The first portrait was replaced by the second, for a simple reason: that it always belongs to the Habsburg family, even if it’s not the descendants of Elizabeth but the current heirs of the House of Austria.
You can see on the following photos, Archduke Otto pose before the portrait : 

Ce Tableau n'est plus à Schönbrunn mais appartient à l'Archiduc Otto 03Ce Tableau n'est plus à Schönbrunn mais appartient à l'Archiduc Otto 02Otto von Habsburg

La Robe de Mariée d’Elisabeth

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Il n’existe aucun tableau, ni lithographie ni même une simple description de la Robe de Mariée que portait Elisabeth le 24 Avril 1854. Mais lors des recherches effectuées par les membres de l’Equipe du Musée Sissi à la Hofburg de Vienne, Il c’est avéré que les broderies de la Robe se trouve sur une Chape à la Basilique  Maria Taferl

There is no table or lithography or even a simple description of the Wedding Dress worn by Elisabeth April 24, 1854. But in the research conducted by members of the Team Sisi Museum at Hofburg in Vienna, it is clear that the embroidered dress sits on a Cope at the Basilica Maria Taferl

 Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 001Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 005 Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 002 Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 003 Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 004Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 006Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 008Manteau Lithurgique fait avec la Robe de Mariée de Sissi 007

Qu’est-ce qu’une Chape / What is a Cope :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Chape_(catholicisme)

http://en.wikipedia.org/wiki/Cope

Basilique Maria Taferl /  Maria Taferl  Basilica :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Taferl

http://en.wikipedia.org/wiki/Maria_Taferl

La seule pièce de la Robe de Mariée d’Elisabeth qui reste est la Traine, que l’on peut voir au Kunsthistorische Museum de Vienne.

The only part of the Wedding Dress Elisabeth that remains is the Court train, that you can see at the Kunsthistorische Museum in Vienna.

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On peut avoir une idée de la Robe de Mariée d’Elisabeth avec la paperdoll de Maria Varga.

We can have an idea of ​​the Wedding Dress of Elisabeth with paperdoll by Maria Varga.

La Tugra

Trés peu de robes d’Elisabeth sont à ce jour conservées. Parmis celles-ci figure la robe qu’elle portait lors de ses adieux à la Bavière, le 20 Avril 1854. Cette robe n’est plus montrée au public pour des raisons de conservations mais une copie à était réalisée pour le Musée Sissi de la Hofburg de Vienne. Lors des recherches les Broderies Orientales de la Robe et de l’Etole ont été confiées à l’Institut de langues arabes de l’Université de Vienne. Il s’agit en fait d’une « Tugra », un ancien sceau de Sultan qui se traduit par : »Oh Seigneur, quel beau rêve ! ». cette Tugra à sûrement était ramenée d’un de ses voyages, par le Duc Max, le pére d’Elisabeth.

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Very little dresses Elisabeth are preserved to this day. Among these is the dress she wore at her farewell to Bavaria, April 20, 1854. This dress isn’t shown to the public for reasons of conservations but a copy was made ​​for the Sisi Museum of the Vienna Hofburg. During the research of Oriental Embroidery dress and shawl were entrusted to the Institute of Arabic Language at the University of Vienna. It is in fact a « Tugra » an ancient seal of Sultan which translates: « Oh Lord, what a beautiful dream! ». surely this was reduced to Tugra one of his journeys, by the Duke Max, the father of Elisabeth.

Tugra

Voici quelques exemples de Tugra / Examples of Tugra :

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Liens / Links :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tugra

http://en.wikipedia.org/wiki/Tugra

Cérémonies religieuses : Jeudi Saint, le Lavements des pieds

Traditionellement, le Jeudi Saint à lieu la Cérémonie de Lavements des pieds. Cette Cérémonie (comme beaucoup d’autres) était trés respéctée au temps de l’Empereur François-Joseph et de l’Impératrice Elisabeth (même si celle-ci avait du mal à se plier à toutes ces Traditions). voici des lithographies qui représentes cette Cérémonie :

Traditionally, takes place on Holy Thursday the Ceremony of feet washing. The Ceremony (like many others) was highly respected at the time of the Emperor Franz Joseph and Empress Elisabeth (even if it was difficult to comply with all these Traditions). Here lithographs who representest this ceremony :

Cérémonie de Lavement des Pieds 04Cérémonie de Lavement des Pieds 05

Voici les objets utilisés par l’Empereur et l’Impératrice au cour de cette Cérémonie :

Here the objects used by the Emperor and Empress at the heart of this ceremony :

Cérémonie de Lavement des Pieds Accessoires

Liens / Links :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lavement_des_pieds

http://en.wikipedia.org/wiki/Washing_of_the_Feet

Parution d’un livre sur l’Ascendance de l’ Archiduc Rodolphe :

Parution d’un livre sur l’Ascendance de l’ Archiduc Rodolphe :

Publication of a book on the Ancestry of the Archduke Rudolph :

Les Habsbourg

http://www.librairie-genealogique.com/fr/familles/9837-les-habsbourg-les-ancetres-de-rodolphe-l-ascendance-francaise-de-l-archiduc-rodolphe-suivie-de-ses-4096-quartiers-.html

Katharina Schratt : « l’Amie »

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Katharina Schratt était la fille unique du producteur de papier Anton Schratt (1804-1883). À l’âge de six ans, Katharina se découvre un amour du théâtre. Bien que ses parents aient tout essayé pour l’en dissuader, elle fait ses débuts à 17 ans en tant qu’invitée du Théâtre de Vienne. Après un engagement au Théâtre allemand de Saint-Pétersbourg, elle épouse un consul hongrois, Nicolas Baiser Ittebe (1852-1909) au printemps de 1879. De cette union naît un fils, Anton, en 1880. Finalement, le couple se sépara en 1880.

C’est au cours d’une représentation théâtrale dans la ville de Kromeriz en Moravie la visite de l’empereur de Russie Alexandre III que l’Empereur François Joseph  la vit pour la première fois. Une amitié s’affirma entre eux et dura sans interruption de 1900 à 1901. À partir de 1901, elle connaît des désaccords avec l’empereur et qui vont durer jusqu’à sa mort en novembre 1916, même si leur relation avait, après la mort de l’impératrice Élisabeth en 1898, timidement repris.L’empereur combla Katharina Schratt de bijoux précieux et lui donna une villa dans la Gloriettegasse à Vienne – près du château de Schönbrunn -et à proximité de l’opéra. L’empereur, cependant, a résisté à toutes les tentatives de Catherine Schratt de gagner, par son influence sur la personne, la direction du théâtre impérial.

1909 marque la mort de son ex-mari.

Après la mort de l’empereur François-Joseph en novembre 1916, l’ancienne actrice vit dans la solitude de son appartement sur Kärntnerring. Elle s’occupait d’animaux (elle avait un singe, des perroquets et sept chiens), elle faisait des lectures publiques pour le bénéfice d’organismes de bienfaisance. Dans ses dernières années, Catherine Schratt était une femme profondément religieuse, qui allait à l’église tous les jours et faisait plusieurs fois par semaine un pèlerinage sur la tombe de l’empereur défunt. Le 17 avril 1940, Katharina Schratt meurt à l’âge de 86 ans. Elle est inhumée au cimetière Hietzing (groupe 19, numéro 108) à Vienne. (Wikipédia)

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Katharina Schratt was the only daughter of Anton Schratt paper producer (1804-1883). At the age of six, Katharina discovered a love of theater. Although his parents have tried everything to dissuade him, she made her debut at age 17 as a guest of the Theater an der Wien. After a commitment to German Theatre in St. Petersburg, she married a Hungarian consul, Nicolas Ittebe Kiss (1852-1909) in the spring of 1879. From this union was born a son, Anton, in 1880. Finally, the couple separated in 1880.

It was during a theatrical performance in the city in Moravia Kromeriz the visit of the Russian Emperor Alexander III as Emperor Franz Joseph saw her for the first time. Affirmed a friendship between them and lasted without interruption from 1900 to 1901. From 1901, she knows disagreements with the Emperor and that will last until his death in November 1916, although their relationship had, after the death of the Empress Elizabeth in 1898, tentatively repris.L Emperor showered Katharina Schratt precious jewels and gave him a villa in Gloriettegasse in Vienna – near the Schönbrunn Palace, and near the opera. The Emperor, however, has resisted all attempts to win Catherine Schratt by its influence on the person, the direction of the Imperial Theatre.

1909 marks the death of her ex-husband.

After the death of Emperor Franz Joseph in November 1916, the former actress lives in the solitude of his apartment on Kärntnerring. She took care of animals (she had a monkey, parrots and seven dogs), she did readings for the benefit of charities. In his later years, Catherine Schratt was a woman deeply religious, who went to church every day and several times a week was a pilgrimage to the tomb of the late emperor. On 17 April 1940, Katharina Schratt died at the age of 86 years. She is buried in the cemetery Hietzing (group 19, Number 108) in Vienna. (Wikipédia)

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Katharina et François-Joseph / Katharina and Franz Joseph :

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Portrait de Katharina offert à François-Joseph par Elisabeth / Portrait of Katharina offered by Elisabeth to Franz Joseph  :

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Tombe de Katharina / Tomb of Katharina :

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Liens / Links :

http://villaschratt.at/

http://geneagraphie.com/getperson.php?personID=I507343&tree=1

Elisabeth et Fanny Feifalik-Angerer

Elisabeth avait pour coiffeuse  personnelle une jeune fille du nom de Fanny Angerer (plus tard Feifalik) qu’elle avait trouvée au Burgtheater de Vienne et dont elle s’était entichée.

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Il y avait une certaine ressemblance physique entre elle est Fanny, à tel point que celle-ci prenait sa place dans des Réceptions Officielles ( lorsque que l’on ne devait le voir que de loin, bien sûr, pour éviter d’éveiller les soupçons),tandis qu’Elisabeth, elle, faisait du « tourisme » et s’amusait du tour joué au personnes présentes et qui n’y voyaient que du feu.

Sissi - Fanny

Il existe deux clichés où l’on voit Ida Ferenczy ( lectrice et amie d’Elisabeth) avec une autre Dame à ses côtés. Cette Dame passe pour être Elisabeth. Hors, celle -ci n’a plus jamais posée pour une photo aprés ses 35 ans. Et on voit bien sur ces fameux clichés que la Dame à plus de 35 ans.

1er Cliché :

OriginalPhoto 1

2eme Cliché :

Photo 3 Photo 2 Photo 2 Agrandissement

J’ai déjà commencé par confronter les Dames des deux clichés. Conclusion ces deux Dames sont une seule et même personne.

Montage 02

Mais qui est-ce ? Pour  moi, il était évident que cette personne soit Fanny, justement à cause de sa ressemblance avec Elisabeth. J’ai donc ensuite confronté ces deux même agrandissements à différentes photos de Fanny.

 Montage Fanny Sépia 2

 Montage Fanny Sépia 1

Montage Fanny 02

Alors, je ne sais pas pour vous, mais pour moi c’est clair : La Dame n’est pas Elisabeth mais Fanny.